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Teaser du film "Les amoureux de la pellicule" qui est un projet de documentaire sur les collectionneurs de films et d'appareils de cinéma réalisé par Frédéric ROLLAND.

Présentation de la Cinémathèque de l'Atelier du 7ème Art
"Je m'appelle Frédéric Rolland et, comme collectionneur de films, je suis à l'origine du projet d'Atelier du 7ème Art ainsi que ce portail internet.
A visiter le lien vers le site Cinematographe.org pour une présentaion plus personnelle."

Martin Hill has one of the largest collections of movie cameras in the world. This feature takes you inside his warehouse in Midland, North Carolina USA. This segment was produced for Time Warner Cable's show, Around Carolina.

The largest film camera museum in the world can be found, not in Hollywood, but in a tiny basement in Athens, Greece.


Alexandre Favre


Yverdon, 12.03.19, Alexandre Favre cinéaste. © Carole Alkabes
Yverdon, 12.03.19, Alexandre Favre cinéaste. © Carole Alkabes

Sur les traces de Bolex à travers le monde

 25 mars 2019 | Edition N°2463 La Région Nord vaudois

 

Un cinéaste amateur reconstitue l’histoire de l’entreprise avec sa caméra fabriquée dans les usines d’antan. Il cherche des fonds pour terminer son projet.

 

Le passé des légendaires usines Paillard a marqué les esprits. Grâce à la production de caméras Bolex entre Orbe et Sainte-Croix, et à la fabrication de machines à écrire à Yverdon-les-Bains, notamment, le Nord vaudois est devenu la capitale de la petite mécanique. Ces technologies et ce savoir-faire typiquement suisses ont permis à la région d’acquérir une renommée internationale. Mais en 1989, la success story s’arrête et le blason doré de l’entreprise perd de sa superbe. Du moins, jusqu’à ce qu’un jeune Fribourgeois redécouvre son histoire.

Dix ans de travail et de recherches

 

Médiamaticien de formation, Alexandre Favre s’est épris des caméras Bolex-Paillard lors d’un séjour aux États-Unis, en 2009. En visitant des expositions consacrées aux films avant-gardistes américains, il a remarqué que de nombreux cinéastes des années 1940 à 1960 avaient utilisé des appareils estampillés de la marque nord-vaudoise pour réaliser leurs œuvres. C’est alors que le Fribourgeois a découvert, un petit peu par hasard, que les caméras suisses avaient participé à la démocratisation de la production de films bien au-delà des frontières suisses.

 

De retour au pays, le jeune homme a cherché à en apprendre davantage sur ces appareils et il a retrouvé la dernière entreprise Bolex International SA de Suisse, basée à Yverdon-les-Bains, et active dans la réparation de caméras de la marque. Les paroles qu’il a échangées avec les deux employés du site l’ont poussé à remonter le fil historique de la société. Une caméra Bolex de seize millimètres entre les mains, le cinéaste amateur est parti à la rencontre d’anciens ouvriers des usines Paillard et à la conquête d’archives de films, détenues par le canton, les musées de Sainte-Croix et divers collectionneurs.

 

Dans son documentaire, qu’il prévoit de sortir d’ici deux à trois ans, figurent des extraits capturés par des amateurs, comme un employé américain, qui avait filmé l’entreprise sainte-crix en guise de souvenir. D’ailleurs, Alexandre Favre a récemment lancé une campagne de financement participatif, afin de récolter 20 000 francs. S’il se doute bien qu’il n’obtiendra pas ces fonds dans les huit prochains jours, il espère que cette opération le fera connaître et que d’éventuels détenteurs d’archives le contacteront pour lui fournir de nouveaux éléments.

 

Quoiqu’il en soit, le Fribourgeois est déterminé à aller jusqu’au bout de son projet, car il a déjà réuni des archives et des témoignages uniques. Il a notamment effectué des prises de vue d’anciens employés sur leur lieu de travail de l’époque. Et au moment du tournage, lorsqu’Alexandre Favre se mettait à écouter leurs récits, il était comme un enfant captivé. «J’ai essayé de faire revivre cette histoire à taille humaine», éclaire le passionné. Les usines Paillard étaient de véritables complexes de vie. Il y avait une infirmière dans chaque foyer, les ouvriers mangeaient sur les sites et des quartiers d’habitations avaient été conçus pour loger les employés. À Yverdon-les-Bains, ils se retrouvaient à midi dans le réfectoire devenu aujourd’hui un bowling.»

 

Cela fait maintenant huit ans que le jeune homme passe tous ses week-ends derrière les caméras et les écrans d’ordinateurs, parallèlement à son travail dans le domaine de la publicité. En consacrant son temps libre à ce projet, Alexandre Favre souhaite rendre hommage aux anciens Nord-Vaudois qui ont contribué à l’histoire et à la renommée de la région. Une manière, pour lui, de montrer aux yeux de tous le passé industriel du district, véritable Silicon Valley de la Suisse avant l’heure, et de rappeler un pan de notre histoire qui était voué à la production de masse.

 

Mathilde Marendaz   Rédaction de La Région Nord vaudois, Rue du Lac 12-14, 1401 Yverdon-les-Bains

Teaser: “Paillard Bolex” (English subtitles)

 

Teaser for an upcoming feature length documentary on the swiss precision industry that produced the Bolex, Kern lenses and the Nagra.


Heinrich Kriesi


pens. dipl. El'ing. ETH

Haldenstrasse 48

8967 Widen

Telefon 056 633 66 61


Woche - 27.3.2003
Woche - 27.3.2003

Dorfmuseum Buchs AG - 26.8.2012 bis 26.5.2013

Aargauer Zeitung - 3.9.2012
Aargauer Zeitung - 3.9.2012
Tagesanzeiger - 5.5.2009
Tagesanzeiger - 5.5.2009

Felix Wicki


Es war einmal ...

Pfarrer Wicki und sein Kino Splendor

Donnerstag, 17.04.2014

Mitten in einem Wohnquartier in Zürich-Oerlikon betreibt Felix Wicki seit über 15 Jahren ein privates Kino - mit Kinosesseln, einem knatternden Projektor und zahllosen Souvenirs. Der frühere Pfarrer von Dietlikon lebt für seine Leidenschaft.

 

Die Leidenschaft für den Film wurde Felix Wicki quasi in die Wiege gelegt. Schon sein Grossvater war ein begeisterter Hobby-Regisseur, und auch seine Mutter experimentierte mit Super-8-Filmen. Nicht verwunderlich, dass auch Felix Wicki seit Kindsbeinen ein begeisterter Filmfan ist. Einer seiner liebsten Regisseure ist und bleibt Charlie Chaplin.

 

Felix Wicki, der früher Pfarrer in Dietlikon war, sammelte alte Filmrollen von Kinoklassikern. Aber es blieb nicht beim Sammeln: Vor über 15 Jahren eröffnete Felix Wicki In einem Wohnquartier in Zürich-Oerlikon ein privates Kino - im Keller eines Mehrfamilienhauses.

 

Die irdische Welt für eine Weile verlassen.

 

Das Kino Splendor, wie Wicki seine Spielstätte nennt, sieht aus wie ein echtes Kino mit Originalsesseln, einer professionellen Leinwand und einem klassischen Projektor. Die Aufführungen finden im privaten Rahmen statt; das charmante Kino kann aber auch gemietet werden.

 

An den Wänden hängen alte Filmplakate; die Räumlichkeiten sind gefüllt mit Souvenirs und Trouvaillen der Kinogeschichte. «Das Kino ist nie langweilig für mich», sagt Felix Wicki im «Regionaljournal Zürich Schaffhausen». «Man verlässt die irdische Welt für eine Weile, schaut auf die Leinwand und wird Teil einer ganz anderen Welt.»

 

SRF Text & Beitrag: Daniel Fritzsche


Heute ...

Kultur Studio

Felix Wicki

  • Kino
  • Bühne
  • Seelenpflege

 

Echtes Kino
mit Schmalfilm-Projektion

 

Winkelriedstrasse 1,
8006 Zürich

Telefon 044 211 33 66


Hans Speri


"Ich habe auch ein Kino"

 

Wie viele Kinoleinwände existieren im Kanton Zug? In Baar gab es noch ein weiteres, kleines, schmuckes Kino. Von dessen Existenz haben jedoch nur gewisse Insider Kenntnis.

 

Dem Kino ist ein höchst interessantes Museum angegliedert.

 

Der Filmfreund war derart von der Kinotechnik fasziniert, dass er seinerzeit alles gesammelt hat, was irgendwie mit einem Objektiv verbunden war. Viele Jahre war kein Foto-Flohmarkt vor seiner Aufwartung sicher.  Anhand seiner Sammlung konnte er die Entwicklung und den technischen Fortschritt der Apparate nachvollziehen und erklären. Überhaupt hat jedes Exponat seine eigene Story, wie es in das Museum nach Baar gelangt ist. Manchmal war es ein Schnäppchen und oft brauchte es die Überredungskünste des Sammlers.

 

Betreffend das Kino-Hobby bezeichnete sich Hans Speri als Spätzünder.

 

Hans Speri verstarb im 80. Lebensjahr am 10.10.2018.

«Ich kann den Film riechen und anfassen»

Hans Speri auf Sendung
Mittwoch, 24. Oktober 2012

 


Willi Studer & Yvonne


Zu ihren Ehren wurde im Jahre 2017 eine grosse Beaulieu Ausstellung in Sessa organisiert.

N.B. Es handelt sich hier um den weniger bekannten "Beaulieu Willi Studer",

nicht zu verwechslen mit dem "Revox Wili Studer".


Lebenslauf Willy Studer

 

Geboren 29. Oktober 1922 in Oberbuchsiten/SO als Sohn des Grundschullehrers Erwin Studer und der Mina Studer- Studer. Willy war das fünfte von sieben Kindern.

 

Schule in Oberbuchsiten, danach ein Jahr Welschland-aufenthalt. Lehre in Olten in der SBB Werkstatt als Maschinenschlosser. Lehrabschluss 1942, Rekrutenschule und Unteroffiziersschule, Aktivdienst  während des 2. Weltkrieges als Waffenmechaniker bei den Fliegertruppen.  In nicht-Aktivdienst-Phasen Arbeit bei Hispano in Genf. Anstellung bei der Kugellagerfabrik in Bözingen, heute Biel. Diese gute Stelle verliert er 1949 wegen Konkurs der Firma. Kurz darauf Heirat mit Yvonne Studer –Sprunger. Am 1. März 1950 Geburt des Sohnes Hans Peter; 29. September 1951 Geburt der Tochter Maria Ursula.

 

Anfang 1951 bei der Perrot AG bekommt er anschliessend erste Kontakte mit der Foto/Film-Branche. Perrot war schweizerische Generalvertretung für die (ebenfalls schweizerische Firma) Paillard/Ste. Croix, später Bolex. Diese Stelle behält er bis Frühjahr 1956.  Nächste Stelle bei Pressbild AG in Bern. Wegen zu unterschiedlichen Vorstellungen von Qualität verlässt er diese Firma im Herbst 1959. Auf 1. September zieht die Familie Studer, inzwischen mit zwei Kindern, nach Horgen am Zürichsee. Willy arbeitet bei der Firma Filmo AG, Vertretung der Firmen Rollei und Bell & Howell. Nächste Station ist die Firma Olympus Schweiz (Vertretung Olympus Fotoapparate). Als er realisiert, dass der Chef ihn zwecks Überwachung seines Arbeits-Eifers verfolgt, kündigt er das Arbeitsverhältnis kurzerhand.  In der Folge arbeitet er einige Zeit für Konica Schweiz.

 

Ende 60-er Jahre wechselt er als Vertreter für die ganze Schweiz zu Jurafot in Villars-sur-Glâne, schweizerische Generalvertretung für Beaulieux, Heurtier und Siemens. Nach der Abgabe der letzten beiden wird Beaulieux zum Hauptgeschäft von Jurafot: Beratung, Verkauf und ganzer Service Schweizweit.

 

Herbst 1976 ziehen Willy und Yvonne nach Marsens. Nach Erstellung des Kellergeschosses mit Luftschutzkeller durch eine Bauunternehmen bewältigen die beiden in den folgenden drei Jahren mehr oder weniger den gesamten Auf- und Ausbau ihres neuen Heims im Zwei-Mann, resp. im Ein-Mann-Ein-Frau-Betrieb.

 

Anfang der 80-er Jahre löst der Besitzer der Jurafot altershalber seine Firma auf und übergibt die Beaulieux-Vertretung an eine Firma Optifot in Zürich. Diese geht im Frühjahr 1983 Konkurs. Im Frühjahr 1984 übernehmen die beiden diese Vertretung aus der Konkursmasse. Durch einen Fehler des Konkursamtes ist das Beaulieux-Ersatzteillager an den Rollei-Vertreter gegangen. Deshalb müssen sie dieses noch separat erwerben. Willy hat schon vor Jahren in der Garage in Horgen auf seiner Schäublin-Drehbank alle möglichen Spezialanfertigungen wie Adapter, Zwischenringe, Gehäuse für Akkupakete, etc. hergestellt. Im Laufe der Jahre hat er sich nebst dem feinmechanischen auch das nötige physikalisch-optische und elektronische Rüstzeug für alle erdenklichen Spezialanfertigungen und Umbauten nach Kundenwünschen angeeignet.

 

In den Jahren 1984-90 arbeiten die beiden extrem hart. Willy repariert täglich mehrere Kameras, produziert daneben seine mittlerweile Umfangreiche Palette an Spezialgeräten und Zubehörteilen sowie immer wieder ganz kundenspezifische Spezialanfertigungen. Yvonne organisiert den Versand, das Rechnungswesen, Inkasso und Buchhaltung  und die Kundenbetreuung. Daneben führt sie selbstverständlich den Haushalt und bestellt einen grossen Gemüsegarten.

 

Anfang der 90-er Jahre lässt seine Sehkraft wegen einer Makula-Degenration nach. Ausserdem wird die Analoge Amateurfilmerei zunehmen durch digitale Techniken abgelöst. Die Arbeit wird schwieriger, das Umfeld ebenfalls. Sie geben die Vertretung an den Verkaufsleiter von Bolex ab. Der Markt bricht jedoch völlig ein. Es bleiben die WillyStuder-spezifischen Spezialanfertigungen in Sachen Adapter und Zwischenringen für Markenfremde Objektive, Gehäuse für neue und grössere Akkupakete für die Kameras, etc.  Mitte der 90-er Jahre schläft seine Arbeit ein. Die Nachfrage geht gegen null, ebenso seine Lust, sich solchen Herausforderungen weiterhin zu stellen. Er ist ja inzwischen deutlich in den 79-ern.

 

Was bleibt, ist ein riesiges Arsenal an Foto- und Filmkameras, Projektoren, hunderttausende von Zubehör- und Ersatzteilen. Leider hat er die Kraft nie mehr aufgebracht, seine ganze Hinterlassenschaft systematisch zu ordnen.

 

Ende 2014 stirbt er im Alter von 92 Jahren.

 

Yvonne Sprunger, später Studer-Sprunger:

 

Geboren 16. Dezember 1929 in Biel als Tochter von Jules Albert und Yvonne Sprunger-Gaschen.

 

Yvonne wächst in Bözingen/Biel auf und besucht dort Primar- und Sekundarschule. Sie wächst bilingue auf, der Vater hatte deutsch-sprachinge, die Mutter französisch-sprachige Schulen besucht.Nach der Schule absolviert sie eine KV-Lehre in einem Advokatur/Notariats-Büro. Die Zusatzausbildung in Geschäftsstenographie schliesst sie mit dem eidgenössischen Diplom mit Bravour ab.  An einem Kirchweihfest in Bözingen kreuzen sich die Wege von Yvonne und Willy erstmals. Ein Jahr später heiraten die beiden.  Da Willy während Jahren während der Woche in seiner Eigenschaft als Vertreter Schweizweit unterwegs ist, bleibt die ganze Kinder-Erziehung Yvonne’s Domäne. Asl Schwiegersohn und jahrzehntelanger Ehemann der Tochter Ursula kann ich bestätigen, dass sie auch diesen Job mit Auszeichnung gemeistert hat!

 

Neben Haushalt und Kinder-Erziehung sind auch die familiären Finanzen streng in der Hand der Hausfrau. Ohne dieses Management wären die wirtschaftlichen Erfolge von Willy vermutlich sehr bescheiden verlaufen.

 

Am 3. Oktober 2017 stirbt Yvonne im Alter von 88 Jahren.

Walter Franceschi

Collezione Beaulieu-Franceschi

di Walter Franceschi

Collezione Franceschi Beaulieu
Cinema Romorantin-Lanthenay. (France)

Beaulieu - Fin de l'exposition temporaire à Romorantin ...
Mais perdure sur ici



Michel Jeannick, Pierre & Serge


Serge Michel, Pierre Michel, Rolf Leuenberger, Jeannick Michel
Serge Michel, Pierre Michel, Rolf Leuenberger, Jeannick Michel

Jeannick et Pierre sont tous les deux professeurs à la retraite, ils n'ont jamais lâché la caméra au profit de leur crayon rouge. « Ma première caméra, je l'ai eu à 17 ans. C'était une 8 mm. Je l'ai toujours et elle fonctionne encore », raconte Pierre, avec les yeux d'un passionné et la barbe blanche bien taillée.

 

Jeannick n'est pas bien loin lorsqu'il s'agit de le reprendre. « Il l'a toujours, mais nous sommes rapidement passés au caméscope après. C'est moi qui ai décidé de l'acheter en première », raconte-t-elle.

 

Ce couple, qui a déjà passé la barre des cinquante années de mariage, est fou amoureux de cinéma. « On aime tourner des films amateurs, mais surtout ne pas passer notre temps au cinéma. Oui, c'est très bizarre, mais nous ne sommes pas des cinéphiles », ajoute Pierre.

 

Un grand prix à Melbourne

Dans leur palmarès, on compte plus de 200 films tournés en cinéma et en vidéo. « Mon tout premier film a été tourné en 1955. J'ai filmé ma famille et une course de chevaux à Montfort », se souvient-il. Puis, est venu le temps des films d'animations. « Tu te souviens Jeannick, c'était l'histoire de petites allumettes allumées. Le film s'appelait À bâtons rompus. »

 

Pendant longtemps, Jeannick s'est occupée du son. « Je prenais de la musique de l'époque pour mettre dans nos films. C'était amusant parce que je mettais des 33 tours mais je n'écoutais jamais le disque en entier. Je faisais jouer mon instinct. J'arrête dès qu'un passage me parlait. »

 

Pierre et Jeannick ont adhéré au club des amateurs de cinéma de Rennes. Avec leurs films, ils ont reçu des prix un peu partout dans le monde. Notamment celui du grand prix de Melbourne pour « L'homme qui aimait Hugo » en 2008. Les récompenses sont éparpillées dans la maison, mises en valeur comme des trophées.

Un prascinoscope de 1899

 

Et au sous-sol, c'est la surprise : une salle de cinéma privée. On y accède par l'extérieur, on descend quelques marches et on tombe nez à nez avec une caisse. On doit payer son ticket et on entre directement. Des sièges bleus récupérés d'un cinéma de Cesson ont été installés. « C'était des sièges de devant et de la rangée de droite et de gauche. Personne ne venait devant, trop près de l'écran. Du coup, ils sont comme neufs. » Il y a la salle de projection. Il ne manque plus que les pop-corn. Ici, Jeannick et Pierre diffusent des films pour la famille et les amis.

 

Et dans l'autre pièce, il y a un magnifique petit musée. Des pièces uniques derrière des vitrines : des caméras, des projecteurs ou encore des visionneuses et des colleuses. Il y a plus de 1 000 pièces, « dont un prascinoscope de 1899 ». Quand Pierre veut parler d'un réalisateur, il oublie son nom. Jeannick le taquine. « C'est le début de la maladie ça. »

 

Le clap de fin ? Ces deux passionnés n'y ont jamais pensé. Et tourner un film sur leur vie ? « Non plus, mais d'autres le feront peut-être. »

Eux qui aiment tant le cinéma et se taquiner, et si le titre de leur prochain film c'était : « Tu dois promettre de ne pas te vexer. »

 

Redon, Ouest-France Maël FABRE. Publié le 05/01/2012

Dragan Jovanovic


Schmalfilm - Museum

Die Filmtechnik engagierter Amateure und professioneller Fernseh-Reporter sammelt Dragan Jovanovic seit Jahrzehnten – und stellt seit wenigen Jahren mehr als 300 Kameras, 50 Projektoren und viele Bearbeitungsgeräte in seinem Museum aus.

Es geht um die Formate Normal 8, Super 8 und 16 mm, um Markennamen wie Arriflex, Beaulieu, Cinema Products oder Steenbeck und es geht um die Nostalgie alter Technik, deren große Zeit gegen Ende der 1970er-Jahre endete. Im liebevoll eingerichteten Museum lassen sich zahlreiche reizvolle Details wie der komplette Hama-Verkaufsstand entdecken.


Kurt Tauber


Con la Fondazione Deutsches Kameramuseum, Kurt Tauber ha creato un vero e proprio tesoro per ogni appassionato.

Un must per ogni appassionato di cinema e fotografia.    AUDIOGUIDE

Ivo Dasek


Das Tonhandbuch

Kreative Anwendung der Tonbandgeräte
Habegger Verlag, Derendingen-Solothurn, 1976
ISBN: 3857230770 / 3-85723-077-0

Kreative Videovertonung
Verkag: Pro Business (5 juillet 2006)
ISBN: 3939000930 / 978-3939000938

Zvuk u amaterskom filmu

O estetyce dźwięku w filmie amatorskim


Serge Oulevay


Fondation collection Bolex-Oulevay

But acquérir et conserver la collection Serge Oulevay, retraçant l'histoire de la production des appareils cinématographiques Paillard-Bolex.

Ancien cadre de la maison Paillard-Bolex, Serge Oulevay a constitué au cours de sa vie une collection remarquable d’appareils et de produits de la marque constituant le cœur de sa collection où figurent également des produits Alpa et divers objets évoquant l’histoire du médium avant l’invention du cinéma.
Au cours des années 1990, diverses institutions vaudoises en charge de la conservation de notre patrimoine ont constitué la Fondation Bolex Oulevay pour assurer la pérennité de cette collection unique, acquise grâce à l’appui de l’Etat de Vaud et de nombreuses communes, mais aussi de la Loterie Romande et de sponsors.
La partie purement cinématographique de la collection est aujourd’hui entreposée par la Fondation auprès d’institutions du Nord vaudois et le Musée suisse de l’appareil photographique s’est vu confier la conservation des appareils photographiques, des lanternes de projection ainsi que des récréations optiques.

Souce Camera Muséee Vevey

Balmer Markus & Familie


Movieworld rüstet auf

BZ Publiziert am 11. November 2010

 

Bild und Ton Digital- und 3-D-Technik hält in Spiez Einzug: Markus Balmer hat seine zwei Movieworld-Kinos in Spiez aufrüsten lassen.

Markus Balmer brachte als regionaler Kinopionier vor vielen Jahren nicht nur das Kino-Open-Air, den cineastischen Filmspass unter freiem Himmel, ins Berner Oberland. Auch lud er auf dem ehemaligen Flugplatz in Frutigen die motorisierten Filmliebhaber zu den ersten Autokinos ein. Die neuste Errungenschaft ist in seinem Kinozentrum Movieworld in Spiez untergebracht. «Seit letztem Wochenende ist das Movieworld mit der neuesten digitalen Projektionsanlage sowie mit dem 3-D-System von Dolby ausgerüstet», ist in einer Pressemeldung der Betreiberfamilie Balmer zu lesen. Die neue Digitaltechnik ermögliche Filmvorführungen von höchster Qualität – zerkratzte Bilder sowie Tonstörungen gehörten der Vergangenheit an. Wie es weiter heisst, würden aus Gründen der Qualität umweltfreundliche, wiederverwendbare 3-D-Brillen verwendet. «Diese müssen nach den Filmvorführungen wieder abgegeben werden und werden von uns gereinigt.»

Hand aufs Herz: Welches war der erste Film, den Sie wohl
als Kind im Kino gesehen haben? Wann waren Sie das letzte Mal im Kino? Ist das Kino tot?

...

Der Erfolg des «Movieworld» ist eine persönliche Leistung

von leidenschaftlichen, ausdauernden Menschen. Wenn ich

manchmal spätabends von meinem Arbeitsort Zürich zurückkomme, sehe ich Frau Balmer an der Kasse stehen, spüre ihre Ausdauer und Demut. Ich bin immer ganz gerührt und bewundere sie und die ganze Familie für ihren Einsatz. Ich bin dankbar, dass es sie gibt.

Philip Delaquis, Spiezer Filmproduzent

 Spiez Info 6-2019 pdf